Actualités | Mercredi 1er décembre 2010
Les écoles privées dans le canton de Vaud
La question de l'école privée revient régulièrement sur le devant de la scène. Ce problème délicat n'est pas du tout résolu, et l'idée reçue qui veut que l'école privée, ça soit pour les riches, est encore loin de disparaître.
L'idéologie actuelle prône l'égalitarisme dès le début du parcours scolaire, empêchant les bons élèves d'avancer à leur rythme, tout comme les enfants en difficulté (hyperactifs, dyslexiques, etc.) de bénéficier de méthodes adaptées, sans oublier la question des programmes éducatifs actuels. Les socialistes, mais aussi les radicaux, prêchant en faveur de l'école unie, s'opposent formellement à l'école privée. Ainsi font-ils tout empêcher les enfants qui, après avoir effectué un séjour peut-être profitable dans le privé, voudraient retourner dans le public.
La situation aboutit paradoxalement sur des inégalités profondes, puisque seules les familles ayant les moyens de mettre leurs enfants dans le privé peuvent se permettre d'offrir à ces derniers des études secondaires conformes à leurs besoins. Le canton de Vaud compte actuellement 48 écoles privées, réseau le plus dense du pays. Comment la classe politique réagit-elle face à ce succès? Et aussi, quel est l'impact économique pour notre canton, sachant qu'un grand nombre des élèves concernés provient de l'étranger?
Afin de faire un point sur la situation, M. Pierre-Antoine Hildbrand, secrétaire patronal au département des associations, mais aussi secrétaire général de l'Association vaudoise des écoles privées (www.avdep.ch), sera des nôtres le mercredi 1er décembre à 20 heures, dans les locaux de la Ligue Vaudoise, place Grand-Saint-Jean 1, à Lausanne (2e étage).
L'idéologie actuelle prône l'égalitarisme dès le début du parcours scolaire, empêchant les bons élèves d'avancer à leur rythme, tout comme les enfants en difficulté (hyperactifs, dyslexiques, etc.) de bénéficier de méthodes adaptées, sans oublier la question des programmes éducatifs actuels. Les socialistes, mais aussi les radicaux, prêchant en faveur de l'école unie, s'opposent formellement à l'école privée. Ainsi font-ils tout empêcher les enfants qui, après avoir effectué un séjour peut-être profitable dans le privé, voudraient retourner dans le public.
La situation aboutit paradoxalement sur des inégalités profondes, puisque seules les familles ayant les moyens de mettre leurs enfants dans le privé peuvent se permettre d'offrir à ces derniers des études secondaires conformes à leurs besoins. Le canton de Vaud compte actuellement 48 écoles privées, réseau le plus dense du pays. Comment la classe politique réagit-elle face à ce succès? Et aussi, quel est l'impact économique pour notre canton, sachant qu'un grand nombre des élèves concernés provient de l'étranger?
Afin de faire un point sur la situation, M. Pierre-Antoine Hildbrand, secrétaire patronal au département des associations, mais aussi secrétaire général de l'Association vaudoise des écoles privées (www.avdep.ch), sera des nôtres le mercredi 1er décembre à 20 heures, dans les locaux de la Ligue Vaudoise, place Grand-Saint-Jean 1, à Lausanne (2e étage).