On nous écrit
Un grand merci pour votre ravigotant et rafraîchissant « Souvenir de non-voyage ». Cependant, sans vouloir jouer au grain de sable perturbateur, un point aiguise ma curiosité. Faut-il écrire enchapelle ou enchaple ?
Dans le dictionnaire du chablaisien de M. André Depraz, Jean-Claude Fert éditeur, 1998, on trouve la définition enchâpler.
Dans le dictionnaire de l’ancien français – le Moyen âge – A.J. Greimas / Larousse 1994, on trouve le mot chapler v. (1080, Rol. ; bas lat. capulare, battre, couper, d’orig. incert.) 1. frapper rudement, tailler en pièces, abattre (« Rol. » signifie « La Chanson de Roland »).
En rêvant comme vous d’entendre encore ce son estival, je vous prie d’agréer, cher Monsieur, mes salutations les meilleures.
Jean-Paul Mérinat
* * *
Ce n’est évidemment plus un mot que l’on voit tous les jours et nous l’avions écrit, de mémoire, comme nous l’avions entendu… en d’autres temps.
Au sommaire de cette même édition de La Nation:
- Les armoiries de Renens – Editorial, Olivier Delacrétaz
- Les normes, pesantes et apaisantes – Jacques Perrin
- Double nationalité – Olivier Delacrétaz
- Visitez le nouveau milliaire de la Plaine de l’Orbe – Félicien Monnier
- SEPTANTE! La plume d’Olivier Delacrétaz – Jean-François Cavin
- Islam et totalitarisme – Revue de presse, Rédaction
- Balkanique, donc modéré? – Revue de presse, Rédaction
- † Pierre Meystre (1917-2017) – Yves Gerhard
- Pierre Maudet, un vainqueur de Condorcet? – AMD
- Du cinéma? – Jean-François Cavin
- Adieu veaux, vaches, moutons… – Le Coin du Ronchon